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SANS COMMENTAIRE….

Humour à l’africaine : une leçon japonaise. Ailleurs, on préfère mourir au pouvoir.

Quand un dirigeant est en phase avec la raison dans sa gestion du bien public, il part sans être inquiété et sans peur.
Des chewing-gum en Afrique qui refusent de partir, on en connaît. D’Abdel Aziz Bouteflika d’Algérie, en passant par Paul Biya du Cameroun, on en a connu sur le continent. Il ne faut pas leur prendre le pouvoir sinon ils mourront tout comme Robert Mugabe du Zimbabwe. Paul Biya lui, on ne sait pas s’il faut lui coller la nationalité Suisse ou continuer par le considérer comme Président du Cameroun près la Suisse. Il reste tout près de son hôpital en Suisse pour être soigné au moindre mal. Les exemples sont légion en Afrique. Ali Bongo actuellement rescapé d’un AVC n’a jamais jugé bon de quitter le pouvoir pour défaut de santé. Non, il s’appuie plutôt sur sa béquille. L’autre ivoirien, marionnette de son cadet Macron, semble plus en phase avec cette réalité. Vous le connaissez très bien, c’est à lui que Umaro Sissoco de la Guinée-Bissau avait dit qu’il n’est pas son fils quand il a fait la mauvaise blague de l’appeler « mon fils ». Alassane Ouattara puisque c’est de lui qu’il s’agit, même par terre, il voudra sûrement s’accrocher au pouvoir sans honte. Il est temps que les africains commencent par suivre les bons exemples. Quittez le pouvoir avant qu’il ne vous quitte. C’est plus respectable.

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